Blog.

« LE PSG NE MÉRITE PAS CE TITRE, LE FLAMENGO A MIEUX JOUÉ ET J’AI VU PAS MOINS DE 4 FOIS LES DÉCISIONS ARBITRALES D’ISMAIL ELFATH FAVORISER LE PSG… » – Certaines voix du côté Flamengo et des supporters brésiliens ont publiquement critiqué la victoire du PSG en finale de la FIFA Intercontinental Cup 2025, la qualifiant de VICTOIRE HEUREUSE ET TRÈS CONTROVERSÉE, sans hésiter à attaquer l’arbitre Ismail Elfath pour de nombreuses décisions litigieuses, notamment le refus de faire retenter un penalty pour Flamengo alors que le gardien Safonov était accusé d’avoir quitté sa ligne trop tôt, ainsi que plusieurs situations VAR jugées favorables aux Européens. Immédiatement, Ousmane Dembélé a répondu par un message de seulement 12 mots sur les réseaux sociaux : « Pleurez tant que vous voulez, la coupe est à Paris, merci pour les 4 penalties ! », laissant les détracteurs sans voix sur les réseaux et les plateaux télé en direct…

« LE PSG NE MÉRITE PAS CE TITRE, LE FLAMENGO A MIEUX JOUÉ ET J’AI VU PAS MOINS DE 4 FOIS LES DÉCISIONS ARBITRALES D’ISMAIL ELFATH FAVORISER LE PSG… » – Certaines voix du côté Flamengo et des supporters brésiliens ont publiquement critiqué la victoire du PSG en finale de la FIFA Intercontinental Cup 2025, la qualifiant de VICTOIRE HEUREUSE ET TRÈS CONTROVERSÉE, sans hésiter à attaquer l’arbitre Ismail Elfath pour de nombreuses décisions litigieuses, notamment le refus de faire retenter un penalty pour Flamengo alors que le gardien Safonov était accusé d’avoir quitté sa ligne trop tôt, ainsi que plusieurs situations VAR jugées favorables aux Européens. Immédiatement, Ousmane Dembélé a répondu par un message de seulement 12 mots sur les réseaux sociaux : « Pleurez tant que vous voulez, la coupe est à Paris, merci pour les 4 penalties ! », laissant les détracteurs sans voix sur les réseaux et les plateaux télé en direct…

kavilhoang
kavilhoang
Posted underLuxury

La finale de la Coupe Intercontinentale FIFA 2025 entre le Paris Saint-Germain et le Flamengo restera gravée dans les annales du football mondial comme l’un des épisodes les plus intenses et les plus controversés de l’année.

Disputée le 17 décembre 2025 au stade Ahmad bin Ali de Al Rayyan, au Qatar, cette rencontre opposait le champion d’Europe en titre, le PSG, à l’équipe brésilienne qui avait conquis la Copa Libertadores et s’était qualifiée via les play-offs intercontinentaux.

Le score final, 1-1 après prolongation suivi d’une victoire parisienne 2-1 aux tirs au but, cache une bataille acharnée marquée par des décisions arbitrales qui ont alimenté les débats bien au-delà du terrain.

Dès les premières minutes, le match a offert un spectacle de haute intensité. Le PSG, emmené par un Khvicha Kvaratskhelia en état de grâce, a ouvert le score à la 38e minute sur une action collective fulgurante conclue par l’attaquant géorgien.

Ce but semblait marquer la supériorité technique des Parisiens, qui dominaient largement la possession et multipliaient les occasions. Pourtant, Flamengo, loin d’être résigné, a réagi avec une agressivité remarquable.

Peu après la reprise, à la 62e minute, une faute de Marquinhos dans la surface a valu un penalty transformé sans trembler par Jorginho, l’ancien milieu de Chelsea et de la Nazionale italienne.

Ce but égalisateur a relancé complètement la partie et a mis en lumière la résilience brésilienne face à un adversaire présenté comme largement favori.

L’arbitrage de l’Américain Ismail Elfath a rapidement fait couler beaucoup d’encre. Choisi par la FIFA pour cette affiche prestigieuse, l’officiel de 43 ans, né au Maroc mais naturalisé américain, n’avait dirigé que peu de matchs de haut niveau en 2025 en raison d’une mission d’audit pour la Fédération marocaine.

Cette nomination surprise a déjà suscité des interrogations avant le coup d’envoi. Pendant la rencontre, plusieurs situations ont cristallisé les critiques, notamment du côté brésilien.

Un but potentiellement refusé à Fabian Ruiz en première période pour une sortie de balle litigieuse du gardien Agustin Rossi a été jugé sévère par les supporters de Flamengo.

Plus tard, la validation du penalty pour les Brésiliens a été confirmée par la VAR, mais certains observateurs ont pointé du doigt des interventions vidéo jugées trop favorables aux Européens.

Le point le plus controversé reste sans doute le refus de faire retenter un penalty pour Flamengo lors de la séance fatidique : plusieurs tireurs brésiliens ont été accusés de fautes d’anticipation, mais l’arbitre a maintenu ses décisions sans repasser les gestes au ralenti pour tous les cas.

Des voix au Brésil et sur les réseaux sociaux ont dénoncé un arbitrage « biaisé » en faveur du PSG, qualifiant la victoire de « chanceuse » et « controversée », avec des accusations répétées de favoritisme envers le club français.

Malgré ces polémiques, le véritable héros de la soirée fut sans conteste Matvey Safonov. Le gardien russe, remplaçant habituel de Lucas Chevalier (blessé à la cheville), a été titularisé pour cette finale et a livré une performance historique.

Au cours de la séance de tirs au but, il a stoppé quatre penalties consécutifs face à Saul Ñiguez, Pedro, Leo Pereira et Luiz Araujo, établissant un record dans les compétitions FIFA.

Cette prouesse a permis au PSG de s’imposer malgré les ratés d’Ousmane Dembélé et Bradley Barcola depuis le point de penalty. Vitinha et Nuno Mendes ont converti leurs tentatives pour sceller le sort de la rencontre.

Ironie du sort, des examens post-match ont révélé que Safonov avait fracturé sa main gauche pendant la séance, probablement dès le troisième tir adverse, mais il a continué jusqu’au bout, achevant son exploit dans la douleur.

Luis Enrique, l’entraîneur parisien, n’a pas tari d’éloges : « C’est du karma, de la résilience pure. Matvey a sauvé l’équipe avec un courage exceptionnel. »

Cette victoire permet au Paris Saint-Germain de boucler une année 2025 exceptionnelle avec un sextuplé historique : Ligue 1, Coupe de France, Trophée des Champions, Ligue des champions, Supercoupe d’Europe et désormais la Coupe Intercontinentale.

Premier titre mondial pour le club de la capitale française, ce trophée marque l’apothéose d’une saison dominée de bout en bout. Ousmane Dembélé, sacré Ballon d’Or 2025 quelques mois plus tôt, a connu une soirée mitigée avec un penalty manqué, mais son influence sur l’ensemble de l’année reste incontestable.

Du côté brésilien, la déception est immense. Flamengo, qui rêvait d’un second sacre intercontinental après 1981, a livré une prestation valeureuse, mais les tirs au but ont tourné au cauchemar.

Les réactions n’ont pas tardé.

Sur les réseaux sociaux, des supporters brésiliens ont multiplié les messages virulents : « Le PSG ne méritait pas ce titre, Flamengo a mieux joué et j’ai vu pas moins de quatre décisions arbitrales d’Ismail Elfath favoriser le PSG… » Ces critiques ont rapidement enflé, certains qualifiant la victoire parisienne de « triomphe heureux et très controversé ».

Immédiatement après la rencontre, Ousmane Dembélé a répondu par un message laconique et cinglant sur Instagram, limité à douze mots : « Pleurez tant que vous voulez, la coupe est à Paris, merci pour les 4 penalties ! » Ce post a fait le tour du monde en quelques heures, laissant les détracteurs sans voix et relançant les débats sur la mentalité des vainqueurs.

Au-delà des polémiques arbitrales, cette finale illustre parfaitement l’évolution du football mondial. La nouvelle formule de la Coupe Intercontinentale, qui oppose directement le champion d’Europe au vainqueur des play-offs des autres confédérations, vise à redonner du prestige à une compétition historique.

Le PSG, en s’imposant, confirme sa place parmi les géants planétaires, même si les accusations de favoritisme persistent. Pour Flamengo, la performance reste honorable : l’équipe a tenu tête à un cador européen pendant 120 minutes et a failli renverser la vapeur.

Le gardien Agustin Rossi, malgré quelques erreurs, a multiplié les parades, et l’ensemble du collectif brésilien a démontré une intensité physique impressionnante.

Aujourd’hui, à quelques jours de Noël 2025, Paris savoure ce trophée tant attendu. Le sextuplé entre dans l’histoire aux côtés des exploits du Barça de Guardiola ou du Bayern de Flick. Safonov, le héros inattendu, deviendra une légende du club, même s’il devra observer une longue convalescence.

Pour le football français, c’est une année de rêve qui s’achève sur un sacre mondial. Et pour le monde entier, cette finale restera un mélange explosif de talent, de drame, de controverses et de gloire pure. Le football, dans toute sa splendeur chaotique.