Une tempête couve dans les couloirs du Paris Saint-Germain. Malgré une victoire 3-0 arrachée vendredi soir face au Stade Brestois 29 au Stade Francis-Le Blé, le vestiaire parisien est en ébullition. La star incontestée de l’équipe, Ousmane Dembélé, est devenue le bouc émissaire d’une frustration palpable. Soutenu par Achraf Hakimi et Vitinha, qui tentent de calmer les esprits, Dembélé fait face à une fronde grandissante : sa présence sur le terrain est désormais contestée, et un joueur anonyme a lâché une bombe en conférence de presse : « Nous jouons à 10 à cause de lui ! » 😱 La LFP et l’UEFA surveillent de près cette crise interne, qui menace l’équilibre d’une équipe leader de Ligue 1.

Le match contre Brest, disputé devant 15 097 spectateurs en liesse, semblait être une formalité pour les Parisiens de Luis Enrique. Kylian Mbappé a ouvert le score d’une frappe enroulée à la 22e minute, suivi d’un doublé magistral de Gonçalo Ramos (55e et 73e), qui porte son total à sept buts en neuf journées. Hakimi, impliqué sur le premier but avec une passe décisive, a été irréprochable en défense, tandis que Vitinha a dicté le tempo au milieu avec 92 % de passes réussies. Brest, courageux mais impuissant, a raté un penalty par Pierre Lees-Melou (68e) et n’a jamais menacé Gianluigi Donnarumma. PSG reste invaincu, avec 27 points, mais les apparences sont trompeuses : la victoire masque une léthargie offensive et des erreurs défensives récurrentes.

Au cœur du malaise : Ousmane Dembélé. Le Français de 28 ans, titulaire indiscutable depuis le début de saison, a une nouvelle fois déçu. Positionné sur l’aile droite, il a perdu 12 ballons, n’a fourni aucune passe décisive et a multiplié les dribbles stériles (seulement 2 sur 8 réussis). Pire, son manque d’implication défensive a laissé des brèches : sur une contre-attaque brestoise en fin de match, c’est son placement hasardeux qui a failli coûter un but. « On sent qu’on est à onze contre dix quand il touche le ballon », a confié un cadre de l’équipe à nos sources. La phrase choc est tombée en zone mixte, lâchée par un joueur que nous avons choisi d’anonymiser : « Nous jouons à 10 à cause de lui ! Dembélé est une star, mais il nous plombe. Il court pour rien et disparaît aux moments clés. »

Malgré ce tollé, Dembélé n’est pas seul. Hakimi, son coéquipier en sélection marocaine, l’a défendu publiquement sur Instagram : « Ousmane est un guerrier, les critiques sont injustes. On gagne ensemble, on perd ensemble. » Vitinha, le Portugais au rôle de médiateur, a renchéri en interview post-match sur Canal+ : « OD est notre étincelle. Il a besoin de temps, comme nous tous. Le vestiaire est solide, pas de panique. » Mais ces soutiens peinent à apaiser la colère. Des sources internes révèlent des échanges vifs dans le vestiaire : Bradley Barcola et Warren Zaïre-Emery, les jeunes loups, reprochent à Dembélé son « ego surdimensionné », tandis que des vétérans comme Marquinhos murmurent sur une possible rotation forcée. Luis Enrique, en conférence, a botté en touche : « Ousmane est un talent unique. On ajuste, c’est tout. » Mais le doute s’installe : avec 14 buts en Ligue 1 et C1 en 2025, Dembélé reste statistiquement décisif, mais son irrégularité (zéro but contre Brest) exaspère.
Cette crise n’est pas isolée. PSG traverse une période de doute post-victoire, amplifiée par les provocations de Mason Greenwood de l’OM, qui a qualifié le 3-0 d’« insignifiant » et promis une déroute parisienne au Vélodrome le 9 novembre. Les réseaux sociaux s’enflamment : #DembéléOut cumule 150 000 mentions en 24 heures, avec des fans scandant « Jouez à 11 ! » La direction, Nasser Al-Khelaïfi en tête, envisage une réunion d’urgence. Historiquement, les crises de vestiaire au PSG (comme en 2023 sous Galtier) ont souvent viré au vinaigre, menant à des départs forcés.
Les enjeux sont colossaux : le Classique contre Marseille approche, et une Ligue 1 à défendre n’attend pas. Dembélé, sous contrat jusqu’en 2028, doit se ressaisir, ou risquer l’exil. Hakimi et Vitinha plaident pour l’unité, mais la colère monte. Jouera-t-on à 10 contre 11 au Vélodrome ? Le ballon, et le vestiaire, décideront. Pour plus de détails, consultez les commentaires ci-dessous. ⚠️